ça y est: dans le train, de bonne heure et de bonne humeur, pour me rendre au salon du livre de Genève.
En dédicace à partir du début d'après-midi et jusqu'à dimanche, sur le stand Dargaud.
Et n'oubliez pas: c'est le Jour J, le DDay! Ma BD sort aujourd'hui dans les librairies... J'ai hâte d'avoir vos retours (quels qu'ils soient...)


Commentaires

  1. J'étais là, au Salon du Livre de Genève, à vous attendre pour une dédicace. Hier trop tard et trop de monde devant pour moi pour espérer avoir mon album le Trône d'Opale, acheté sur place je tiens à le préciser. Revenu ce matin avec espoir, à 10h tapantes mais voilà il y a 5 personnes devant moi, je suis le dernier. Tant pis je vais attendre mon tour comme les autres. Mais voilà vous deviez partir à 11h30 horaire de train oblige, et la première dédicace prend du temps. Finalement je devrai me contenter d'une signature. C'est bon, je dois me dire la dédicace est un cadeau de la part de l'auteur, un don gracieux... Un nom à écrire et vous êtes encore foutu de vous tromper : je m’appelle NUNO et non Lumo ! Merci pour le cadeau.
    En sortant du Salon avec une dédicace qui ne m'est pas adressée, une facture de quelque 45 francs (40 euros), et une frustration énorme, je découvre qu'il y a une collecte de livres pour le Sénégal. Et voilà où est atterrit votre album. Il y aura peut être des jeunes Sénégalais qui prendront goût à votre BD, pour ma part je suis dégouté.

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  3. Je ne comptais pas forcément laisser un commentaire, mais vu le premier il faut bien contre-balancer pour expliquer que, oui, il y avait du monde, oui, une belle dédicace prend du temps (merci pour ce superbe dragon qui me plait autant qu'à ma femme et à mes deux petites filles!), oui, venir à l'heure pile c'est pas très malin!
    J'ai moi aussi patienté 3h30 et acheté ma bd sur place, mais la patience est une vertu quand on s'y prend à temps :)
    Merci M. Angleraud pour votre application, votre sympathie, vos explications sur le mécanisme de la création d'une bd ainsi que sur la subtilité de faire une épaule féminine et vivement vos prochaines œuvres d'art!
    David

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    1. Alors soyez en heureux ! 30 mins pour la première dédicace et cinq personnes devant vous, vous croyez que j'ai pas pris mon mal en patience ? Ou en passant une heure sur les routes pour être là le plus tôt possible ? Alors le "c'est pas très malin" donneur de leçons vous pouvez vous étouffer avec. Et me faites pas rire comme quoi vous l'avez acheter sur place, aucun de ceux devant moi possédait des albums neufs. Je n'ai rien contre M. Angleraud mais que le fait que mal orthographier mon nom c'était la cerise sur le gâteau.

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    2. Hé bien cher Nuno riez bien fort et haut, parce que oui c'était un album acheté sur place vu que je n'avais pas le dernier opus (bien sympa d'ailleurs avec le fight entre wis et pilou que j'ai lu en patientant)! Il coûtait 21 francs suisse et j'ai encore le ticket de caisse qu'on m'avait conseillé de garder pour la dédicace au cas où (mdr en effet vu les bd dédicacées avant moi!). Désolé pour votre nom mal orthographié, mais vu le bruit, j'ai dû moi même l'épeler 2 fois! Quand à l'étouffement je préfère ne pas relever...
      David

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    3. Amis lecteurs, voici bien le problème que nous, dessinateurs, hélas, rencontrons trop souvent dans les séances de dédicaces.
      J'ai dédicacé pendant 2 jours et demi avec le plaisir d'échanger tout en dessinant. Afin de satisfaire le plus grand nombre, je n'ai pas pris mes pauses (prévues par la maison d'édition) qui m'auraient permis de "décompresser" 2 heures. Mais hélas le dernier jour, il y a l'impératif du voyage retour et, pour ma part, le train qui, lui, se tiendra à ses horaires.
      Mais je comprends que la frustration l'emporte sur n'importe quelle explication.
      Régulièrement, je revois des lecteurs à qui cette mésaventure de l'interruption de dédicace est arrivée. Et systématiquement je réponds en leur faisant une dédicace plus poussée. Non pas par excuse, mais par empathie pour cette frustration. Alors, sait-on jamais...
      J'ai des amis Sénégalais qui font du sport avec moi et je pense qu'ils vont être ravis de l'anecdote.

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    4. Cher Monsieur Angleraud
      Ma définition de l’anecdote est celle d’une petite histoire qui se raconte plaisamment et se retient aisément car faisant appel aux sentiments comme l’humour ou la moquerie. Au moins je vous fait rire, vous et vos amis, et bien voilà à quoi va se résumer pour vous cette « anecdote ».
      Néanmoins j’aimerais vous avouer que, en plus de cette frustration coupable aux yeux de vos fidèles, j’ai vécu cette « anecdote » avec une pointe de tristesse car je me réjouissais de cet instant de partage. Comprenez Monsieur Angleraud que, même si je devais me contenter de votre signature sans dessin, au moins je repartais satisfait avec ça. Alors découvrir que vous écrit un autre nom a provoqué cette frustration, cette déception et l’impression d’avoir été dédaigné même si ce n’était pas votre volonté première. Les heures d’attentes, l’argent dépensé, le long trajet, tout ceci n’avaient d’importance si j’avais reçu une simple dédicace.
      Enfin, et même si vous m’en faite l’offre et je vous en remercie, mais je vous ne demanderai pas de dédicace « poussée » car elle se ferait au détriment de ceux qui attendrait leur tour. Ils auraient alors droit à la même frustration et tristesse qui furent miennes ce dimanche.
      Je vous prie de croire, Monsieur Angleraud, en la parfaite expression de ma considération.
      Nuno

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